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Formation Professionnelle : Détournement de 20.000.000 FCFA à l’ère du CTRI

Le Général de brigade Brice Clotaire Oligui Nguema aurait pu bien s’en passer, mais hélas les mêmes démons du passé semblent revenir au gallot.

En effet si la tournée du Vice-Président de la République a semble-t-il donné de l’espoir à la jeunesse gabonaise lors de sa visite à Nkok, celui si n’a pas été informé d’un blocus ou d’un détournement de 20.000.000 de FCFA que les formateurs de la formation professionnelle envoyé en France attendent depuis 08 mois.

En effet envoyé à Marseille pour un renforcement de Capacités pour mieux former la jeunesse gabonaise dans les différents centre de formation du pays, ses derniers ont dû eux même payer leur formation en France, en s’endettant pour un projet pourtant financé par la BAD.

Si les responsables de la tutelle de l’Education Nationale en charge de la Formation Professionnelle ont reconnu leur tort et se sont décidé à un remboursement dans les meilleurs délais, malheureusement 08 mois après ceux-ci n’ont toujours pas tenu parole, mettant de facto ses 10 compatriotes dans une situation critique ou ses derniers seraient menacés par les autorités compétentes françaises car ayant cumulés les dettes en France pour leur formation durant un an .

Désormais sur la liste rouge du consulat général de France au Gabon et recevant sans cesse des emails des autorités françaises pour solder les différentes créances laissés en France, les 10 formateurs de la formation professionnelle ne savent plus à quel saint se vouer vu que les autorités gabonaise et leur tutelle n’arrivent pas à rembourser la somme de 20.000.000 FCFA qui leur permettraient de solder leurs créances laissées en France, l’argent ayant certainement pris une autre destination au Ministère de la formation professionnelle.

Vivement que le Président de la Transition Brice Clotaire Oligui Nguema trouve une solution très urgente pour ses 10 formateurs de la formation professionnelle qui se sont sacrifiés pour le Gabon et qui sont sans cesse persécutés par les autorités Françaises pour une créance de 20.000.000 de FCFA